Découvrez l’Odyssée version rap avec Karl-Adrien, Lyd’G et Enzo

FDM News vous propose de découvrir les nombreux talents des élèves du collège Front de Mer.
Nous mettons aujourd’hui à l’honneur Karl-Adrien, Lyd’G et Enzo qui ont choisi de mettre en scène, en version rap, Ulysse, Hélène et Télémaque, les personnages de l’Odyssée d’Homère qu’ils ont découvert dans leurs cours de Français et d’Histoire de 6e.
Grâce à Medhydjah à la technique, ils ont pu enregistrer dans le studio FDM News leur rap à base de sirène et… « de crème fraîche ».
Une interview, réalisée par notre journaliste Cyahna, est à venir pour élucider le mystère de la crème et surtout mieux connaître ces artistes prometteurs.
Bonne écoute sur FDM News !

Crédits musique / instrumental :
Titre : Sombre instrumental Rap
Auteur : Razor Beats
Album : Freestyle
Cette musique (libre de droits) a été sélectionnée sur le site : Instrurap
[Il faudrait] plus d’infrastructures pour les jeunes » : entretien avec François-Xavier Léandre du SEPSI de Lauricisque
Notre journaliste, Jah-Shayliann, a reçu et interrogé dans notre studio François-Xavier Léandre, Éducateur spécialisé au SEPSI (Service des Équipes de Prévention Spécialisée et de l’Insertion), un acteur essentiel de médiation dans le quartier Lauricisque.
Qu’est-ce que le SEPSI ? Quelles sont les actions menées dans notre quartier ? Avec quels partenaires ?
Jah-Shayliann a posé ces questions et bien d’autres afin de nous permettre de mieux connaître et de comprendre les activités du SEPSI dans le quartier Lauricisque et au-delà.
Bonne écoute sur FDM News !
Pour plus d’informations sur le SEPSI vous pouvez aussi consulter cette page : AAEA SEPSI
Crédits générique :
Titre : One for Bill
Auteur : Darin Wilson
Album : Impromptu
Cette musique (libre de droits) a été sélectionnée sur le site : https://www.auboutdufil.com/
Comment agir de manière écologique ?

Notre journaliste Medhydjah, avec l’aide technique de Maï-Léna, vous propose de parler un peu d’écologie.
Qu’est-ce que l’écologie ? Quels comportements pouvons-nous adopter au quotidien afin de réduire l’impact écologique de nos actions ?
Différents exemples de réponses vous sont présentés dans ce sujet.
Bonne écoute sur FDM News !
Crédits :
Musique : Titre – K For Kool / Auteur – Kuromaru
Cette musique (libre de droits) a été sélectionnée sur le site : https://www.auboutdufil.com/
Photographie : PS Photography – https://www.pexels.com/fr
Nous sommes le 8 mars, c’est la Journée internationale des droits des femmes !
En ce mercredi 8 mars 2023, FDM News souhaite rappeler que cette journée est dédiée chaque année à la dénonciation de la persistance des inégalités femmes/hommes dans le monde entier, à la lutte contre ces inégalités et aux combats menés pour étendre les droits des femmes et permettre leur émancipation.
À cette occasion, nous vous invitons à écouter ou redécouvrir l’entretien avec Stella Parnasse du CIDFF Guadeloupe réalisé par notre journaliste Kéren.
Bonne écoute sur FDM News !
Pourquoi le 8 mars n’est pas « la journée de la femme » ?

Bien que la Journée internationale des droits des femmes soit appelée par certains « journée de la femme », il est primordial de comprendre que cette journée du 8 mars ne célèbre pas la femme en tant que genre (masculin /féminin), mais vise plutôt à promouvoir une vision plurielle des femmes dans tous les domaines de la société, mettant en avant leurs réalisations et reconnaissant les nombreux défis relevés par elles.
Si nous réduisions cette journée à une « journée de la femme », cela impliquerait une vision très étroite des objectifs de cette manifestation annuelle.
L’intitulé « Journée internationale des droits des femmes » affirme la nécessité de s’assurer que les droits des femmes sont protégés, respectés dans le monde entier et vise à mettre en avant les inégalités et les discriminations subies par les femmes du fait de leur genre, bien loin de mettre en valeur une vision simpliste et unique du genre féminin.
Oublions donc la « journée de la femme » pour ne pas perdre de vue que la vraie signification de la journée du 8 mars est la lutte contre les inégalités subies par les femmes.
Marianna
Qu’est-ce que la « Journée internationale des droits des femmes » ?

Le 8 mars est une journée d’action, de sensibilisation et de mobilisation dédiée à la lutte pour les droits des femmes. L’origine de cette journée remonte aux débuts du 20e siècle lorsque des femmes étatsuniennes, britanniques ou russes, par exemple, se sont mobilisées pour dénoncer les inégalités de droits subies par toutes les femmes.
C’est en 1977 que l’Organisation des Nations Unies (ONU) a officialisé la création de la « Journée internationales des femmes ». La France a officiellement célébré cet évènement en 1982 en faisant du 8 mars la « Journée internationale des droits des femmes » afin de mettre l’accent sur la lutte encore nécessaire pour la défense et l’extension des droits des femmes.
En effet, les femmes sont victimes depuis de nombreux siècles d’inégalités de droits par rapport aux hommes. Des femmes françaises comme Olympe de Gouges (Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, 1791), la philosophe Simone de Beauvoir (Le deuxième sexe, 1949), l’avocate Gisèle Halimi, et bien d’autres encore, ont agit et lutté pour défendre les femmes victimes de discriminations, de violences et d’inégalités de toutes sortes.
En Guadeloupe, des personnalités comme l’avocate Gerty Archimède ou la sage-femme, et femme politique, George Tarer se sont illustrées particulièrement dans la lutte pour les droits des femmes et pour l’amélioration des conditions de vie des femmes guadeloupéennes.
Malgré tous ces combats menés, l’égalité de droits entre les femmes et les hommes reste un objectif et non une réalité, en France comme dans le reste du monde. Charge à nous désormais de trouver les moyens d’y arriver.
Anaïs et Shayna
Journée internationale des droits des femmes : le CIDFF organise, le 8 mars, une manifestation salle George Tarer

À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, le 8 mars 2023, le CIDFF Guadeloupe organise à la salle George Tarer, à Lauricisque (en partenariat avec le collège Front de Mer), une matinée de sensibilisation ayant pour thème « Le Maré Tèt, une pratique féminine intemporelle de notre patrimoine culturel ».
Les inégalités femmes/hommes restent une réalité tant à l’échelle internationale que dans notre pays et sur le territoire guadeloupéen. Afin de prendre conscience de la nécessité d’agir pour mettre un terme à ces inégalités, le CIDFF propose de réfléchir ensemble aux difficultés rencontrées par les femmes guadeloupéennes tout en valorisant des savoir-faire et des activités permettant leur émancipation.
FDM News s’associe à cet évènement dont vous pouvez consulter le programme ci-dessous. Nos journalistes réaliseront à cette occasion des reportages que vous pourrez consulter très prochainement.
Qui est George Tarer ?

Dans la perspective de la Journée internationale des droits des femmes, le 8 mars, nous faisons le portrait d’une femme guadeloupéenne qui s’est engagée pour la défense et l’extension des droits des femmes. Nous souhaitons ici rendre honneur à son engagement.
George Tarer, née le 5 juin 1921 à Morne-à-l’Eau et aujourd’hui retraitée, est une sage-femme, militante des droits des femmes et des enfants. George Tarer a grandit dans une famille engagée en politique. Son père était mécanicien et conducteur de transport et sa mère poétesse et mère au foyer. Elle a cofondé l’Union des Femmes Guadeloupéennes dont elle fut nommée présidente en 1976, et le resta jusqu’en 1985 . Elle milita activement pour résoudre les problèmes des femmes en Guadeloupe et, dans le cadre de son engagement politique, elle visita la plupart des pays du bloc communiste, au temps de l’URSS, menant même une délégation à Cuba.
Georges Tarer fait partie des Guadeloupéennes qui ont consacré leur vie à défendre la démocratie, les libertés, la justice sociale, les droits humains et à lutter contre les inégalités, en particulier celles visant les femmes.
Elle est mère de 7 enfants et a exercé pendant 37 ans au CHU de Guadeloupe. Elle a été également été adjointe au maire de Pointe-à-Pitre. En 1995 elle se voit attribuée la légion d’honneur en temps que chevalier, puis est promue officier en 2005 et commandeur en 2019.

En hommage et en reconnaissance de tout son engagement, la ville a donné son nom à une salle municipale de notre quartier Lauricisque (Pointe-à-Pitre), tout près du collège Front de Mer. Enfin, une rue de Morne-à-l’Eau, sa ville natale, porte son nom.
Rhyan
Pour en savoir plus, consultez cet article de Guadeloupe la 1ère : George Tarer fête aujourd’hui son 103e anniversaire page des articles